Quel terme technique que celui du Drag’n’Drop, plus vulgairement appelé glissé/déposé qui consiste à pouvoir sélectionner des éléments graphiques par simple clic et ensuite les déplacer.
Mais que vient faire le Drag’n’Drop à côté des lecteurs MP3 ?
A leur apparition, les lecteurs MP3 n’étaient que de simples clés USB capables accessoirement de lire les contenus musicaux mis à l’intérieur. Mais quelques iPods plus tard, le concept avait été supplanté.
Quels arguments avait-on trouvé contre la simplicité ? Le prétexte fallacieux de référencer les musiques au sein d’une base de données interne pour permettre de trier par album, artiste et autres.
Le problème posé est que ces logiciels sont le plus souvent propriétaires, c’est-à-dire que le fonctionnement du logiciel et donc du transfert vers le lecteur MP3 n’est connu que du constructeur… Sachant que ce même logiciel n’est développé que pour Windows et en cas de bonne volonté sur Mac, les linuxiens sont un peu lésés.
Le phénomène est d’autant plus gênant qu’il est répandu, et qu’aujourd’hui difficile de trouver un lecteur MP3 compatible avec Linux. Même si un équivalent d’iTune existe, je préfère m’en passer.
C’est donc en cherchant la perle rare que j’ai trouvé au passage chez Sony (), que j’ai découvert que le fait de pouvoir transférer ses musiques en manipulant le lecteur comme une clef USB était dorénavant dénommé sous le terme pompeux de Drag’n’Drop.
Vous savez à présent que chercher dans la description technique de votre futur lecteur MP3. Je signale au passage que malgré le mode de transfert, le lecteur se constitue lui-même une base de données d’artistes, albums et autres.